La Galice jusqu'à l'hallali
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Le racisme n'a pas qu'un seul visage. C'est ce que montre le film dominicain, Miriam ment. Disons plutôt qu'il cherche à le montrer mais de façon tellement subtile (?) que le message devient assez difficile à décrypter. Le film se passe chez des gens relativement aisés et blancs hormis Miriam dont le père a la peau foncée. Elle ne souffre d'aucun ostracisme et c'est elle-même qui refuse un ami noir de peur que ses proches ne l'acceptent pas. C'est ce que l'on croit comprendre d'une trame qui évoque la transmission des préjugés et un communautarisme avant tout basé sur les ressources financières. Miriam ment est co-réalisé par un couple de cinéastes qui a tourné auparavant deux documentaires. Leur passage à la fiction n'a vraiment rien de mémorable.
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Créée
le 16 mars 2019
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