Le plaisir que procure un film n'est pas rationnel. Il n'y a pas de formule mathématique pour plaire au spectateur, la subjectivité étant de mise.
Toutefois, à la sortie de la projection, je m'interroge vraiment sur les ressorts de ce film ayant pu séduire une partie non négligeable de l'audience. La notion de suspension de crédulité a ses limites.
Je ne suis pas un amateur de film d'actions, mais, ayant bénéficié d'une invitation, je me rendais à la projection avec enthousiasme et en espérais une bonne surprise. Mes espoirs furent très vite déçus : le scénario est grotesque, les dialogues d'une niaiserie confondante ; et la bande son ne vient que s'ajouter à la caricature.
Je concède volontiers ne pas être un expert des scènes d'action. Celles présentes dans le film m'ont paru assez convenues, classiques.
Le thème de l'intelligence artificielle souhaitant contrôler le Monde est un peu le symbole de ce film où tout a été traité avec paresse.
N'est il pas possible de f