Walt Disney a initié l’animation.Pierre Coffin et Chris Renaud sont des représentants du dessin animé 2.0, celui qui conjugue action, humour et rythme. Gru, archétype du méchant au grand cœur, père adoptif de trois filles, repart pour un tour. Son flair d’ex méchant va lui permettre de démasquer El Macho, mexicain qui veut l’égaler sur le terrain du crime. Le coup de génie, c’est de rendre des endroits familiers ( une maison, un restaurant ) propres aux péripéties et d’en faire des zones d’actions épatant les petits et les grands.Tout s’enchaîne à vitesse Grand V pour ne pas endormir le public et le faire sortir d’une zone de confort. Il faut juste accepter les différentes propositions et se laisser cueillir pour passer un moment drôle, décoiffant et culotté. Les voix françaises de Lucy White ( Audrey Lamy) et d’El Macho ( Eric Cantona) apportent énormément à ce deuxième épisode de Moi, moche et méchant.Deux heures qu’on ne voit pas filer car l’ensemble a des rouages retors, des intentions sympathiques et qu’en cas de déprime, ce dessin animé est recommandé pour restaurer votre moral.N’hésitez pas à le regarder même si vous n’êtes pas un grand fan de films d’animation.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Films 2020
Créée
le 29 mars 2020
Critique lue 109 fois
D'autres avis sur Moi, moche et méchant 2
Moi, ça fait un moment que je me suis habitué au film grand public sans scénario ni cohérence. A la limite, le truc qui cherche le gag toutes les fins de scènes (soit à peu près 30 secondes, ce qui...
Par
le 6 août 2013
34 j'aime
17
Gru est de retour et il est…gentil, ben oui il fallait s’y attendre maintenant qu’il est devenu papa et qu’il a des responsabilités, il a bien été obligé de rentrer dans le rang. Là est tout le...
Par
le 23 juil. 2013
24 j'aime
J'ai découvert hier que le film venait de sortir, et hop hop hop ! Tous au ciné ! 90% d'adultes dans la salle, et pourtant des rires du début à la fin. Certes le scénario est peut-être un peu moins...
Par
le 27 juin 2013
19 j'aime
Du même critique
Ce qui marque d’entrée dans Eiffel est la qualité des scènes d’époque du côté de Bordeaux où de Paris. Martin Bourboulon effectue une mise en scène épatante où chaque détail compte. Les extérieurs de...
Par
le 13 oct. 2021
40 j'aime
Je comprends mieux pourquoi nos voisins britanniques ont une affection si particulière pour Paddington.Ce petit ours péruvien et déraciné qui débarque à Londres a déjà un regard naïf mais pas tant...
Par
le 14 déc. 2014
26 j'aime
3
Jesuislà est un film retors car les vingt premières minutes du film ne vous préparent volontairement pas à ce qui va suivre. En effet, le spectateur a tout juste le temps de se baigner dans la vie de...
Par
le 7 févr. 2020
19 j'aime
