Un photographe en crise de la quarantaine se fait plaquer par sa femme. C'est alors qu'il reçoit une poupée en silicone de haute gamme, qui va éveiller ses désirs, et perturber son entourage. Avec un tel sujet, on n'échappe pas à quelques blagues grivoises, mais dans l'ensemble, "Monique" exploite surtout l'absurde de la situation. Et tout en demeurant assez sage, le film traite du désir chez les couples, avec quelques idées intéressantes. On appréciera également Dupontel en quarantenaire mutique qui découvre une nouvelle vie grâce à son "amie".