...Il était une fin !
Quel crime ai-je commis avant de naître pour n'avoir inspiré d'amour à personne. Dès ma naissance étais-je donc un vieux débris destiné à échouer sur une grève aride. Je retrouve en mon âme les...
le 7 oct. 2021
134 j'aime
121
Même si on doit être bien installé, confortablement, cet opus ou D.Craig nous fait ses adieux se laisse regarder et ce malgré quelques longueurs. Cette suite de Spectre est bien mieux, d'abord par le jeu de Bond où ses affres sentimentales font notre bonheur.
Ah Madeleine quand tu nous tiens !
Et donc la place accordée aux femmes. Elles deviennent celles par lesquelles la réussite s’établit, elles prennent peu à peu le rôle réservé traditionnellement aux hommes,
Ensuite par la réalisation et les cascades réussies mais aussi la bande son de Hans Zimmer et avec une jolie surprise a la fin.
Les quinze dernières minutes ne ressemblent à aucun autre film James Bond, délaissant la pyrotechnie pour mettre en avant de pures émotions, qu'elles soient noires ou lumineuses.
Je suis donc moins circonspect que certains car le spectacle, comme toujours est là et c'est le principal
Créée
le 6 oct. 2021
Critique lue 166 fois
4 j'aime
D'autres avis sur Mourir peut attendre
Quel crime ai-je commis avant de naître pour n'avoir inspiré d'amour à personne. Dès ma naissance étais-je donc un vieux débris destiné à échouer sur une grève aride. Je retrouve en mon âme les...
le 7 oct. 2021
134 j'aime
121
Le voila enfin ce dernier Bond de Craig ! Après s'être fait attendre plus d'un an pour cause de covid, sans cesse repoussé, mon attente était énorme, il fallait que cet arc Dan Craig finisse en...
Par
le 12 oct. 2021
126 j'aime
172
Que l'on prenne l'ère Craig par n'importe quel bout, on peut difficilement y voir une forme de tiédeur de la part de ses producteurs. Les prises de risque sont bien réelles et les méthodes de...
le 6 oct. 2021
75 j'aime
26
Du même critique
"C’est l’histoire d’une grande amitié entre deux amoureuses de l’image, l’actrice Delphine Seyrig et la vidéaste Carole Roussopoulos. Quelques mois avant sa mort (en 2009), celle-ci décide de faire...
Par
le 31 janv. 2020
9 j'aime
1
Inconnue, elle était ma forme préférée, Je n’avais pas le souci d’être un homme, Et, vain, je m’étonne d’avoir eu à subir Mon désir comme un peu de soleil dans l’eau froide. Paul Eluard. Lassé de sa...
Par
le 6 déc. 2015
8 j'aime
"L'été en pente douce" est plus un film d'atmosphère que d'autre chose. Ici, pas de scénario poussé très loin, pas de grandes intrigues. Mais tout y est juste, la jalousie, la bêtise, la rivalité, la...
Par
le 3 sept. 2016
8 j'aime