Implacable

Olivier Marchal se fait une spécialisation dans la description sombre et brutale du métier de policier. Dans 36, c'était réussi. Ici, c'est loupé. Le noir est poussé à un niveau où il devient...

J'aime bien Olivier Marchal en tant que comédien et globalement, j'avais bien aimé "36 quai des orfèvres" même si la seconde moitié du film était moins réussie que le début. Donc j'étais content...

Que Marchal se complaise à dépeindre la police comme une assemblée de connards alcooliques, pourris, et/ou ravagés par la vie n'est pas un problème en soi. Ce qui en est un en revanche, c'est qu'il...

Enlacés par la nuit et ses turpitudes, les flics s’égarent de leurs idéaux loin du sommeil.

Entre euphorie et décadence, l’alcool transcende autant qu’il isole. Dissertation réussie, tout n’est qu’une question de mesure.

Dans la moindre rocaille s’inscrit la tumultueuse histoire amérindienne. L’instance du départ ou l’impossible exil.