Une critique, ça marche bien, quand ça reprend la structure du film.
"Que la nuit dissipera, Les déités des eaux vives laissent couler leurs cheveux, cette belle ombre que tu veux, il faut que tu poursuives"
"Je suis ton père"
"Mignonne la rose si allons voir"
"Non, Je n'est pas ça. Il ne naît et renaît que d'une désintrication toujours à reprendre du corps et des mots; d'une traversée perpétuellement à recommencer de la grille des signifiants."
"I'LL BE BACK !"
Scène Hot.
"L'anémone et l'ancolie ont poussé dans le jardin, où dort la mélancolie"
"Une charogne infâme sur un lit semé de cailloux"
"Et je le prends avec quoi ? je le prends avec ça !"
"Bhiohjezrknshrshtgcsntsntnchstkjndhtcnsuietrnvcvhrtkzenvo"
"Je t'ai cassé"
" La Raison se présente ainsi avec une double face, vecteur de rationalisation des rapports sociaux et d'élucidation des consciences, elle est aussi un instrument de domination de la nature et des hommes."
Lesbianisme.
"Et j'ai crié, criéééééé, MICHELINE"
"Oiseau tordu n'a pas beau bec"
"The stuff that dreams are made of"
"être or not to be"
Non bon sérieusement je vais faire une vraie critique.
Alors d'abord les acteurs... Et puis y'a aussi la photo...
Et je sais pas si vous avez remarqué... Ce point est super important...
Et puis là paf....
Scène de masturbation féminine.
Vous aurez donc compris.
Comme Lynch, je laisse libre cours à vos interprétations, je ne révélerai rien de ma critique et de son/ses fil(s) directeur(s) vachement fouillés tellement je suis un intello avec plein de référence, un montage innovant, et une réflexion métaphysique du tonnerre. A ces proposition d'interprétation j'ai une seule et même réponse : "HAHA, PEUT ETRE !"