Pascal Plante son équipe nous transporte dans l'univers trouble de celui qui voit la lumière de la noirceur que représente l'après. Tout d'abord vécu comme un rejet totale de la discipline lors de la rencontres avec ses camarades de nage dans une petite chambrette de Tokyo. Ses multiples tentatives de se concevoir comme autre la ramène toujours à la routine des coups de brasses. Le changement n'arrive jamais directement il est entre l'océan de l'euphorie et le désert des âmes perdues et c'est bien la que l'on croise notre belle québécoise qui n'affirme a aucun moment son choix brusque par un affect quelconques pour la médecine ou la vie scolaire mais par lassitude de l'esprit olympique.
Toutefois, la production n'est guère délicat dans les démonstrations des état d'âme de notre nageuse. Une visibilité trop directe sans interprétation possible du spectateurs qui se fait amener par la main vers l'évident.