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Doté d’une ambiance splendidement anxiogène et d’une scène augurale assurément perturbante, le métrage possède un final véritablement hitchcockien. Le choix de la destination des parents (Venise) est des plus judicieuses car ils devraient être devenus vraisemblablement aquaphobes. La scène d’amour ne m’a pas heurté outre mesure car on visionne bien plus explicite dans les séries de nos jours. De plus, le réalisateur rend la Cité des Doge réellement angoissante. Néanmoins, l’œuvre est excessivement byzantine.
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Créée
le 15 juil. 2024
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