Aie aie aie, il nomme "cyborg" des androïdes en s'abstenant de nommer les cyborg, tout en ne cessant de mettre l'accent sur le fait de s'éloigner de l'humanité à force d'ajouts technologiques... Plongée aux tréfonds du nanar avec des vamps qui canardent dans le désert. Le sujet éculé de la prise de pouvoir par les machines à forme humaine contre "la résistance" sert de trame de fond à une accumulation de clichés imperméable à tout humour digne de ce nom.
J'ai néanmoins ris de la scène où elle lance "Follow me" avant de passer à un plan où lui marche 15 mètres devant, puis un autre décor où il est 25 m devant, ce qui vaut le point supplémentaire à la note minimum.