Oublions l'aspect teen-movie de Never Back Down et Never Back Down 2. Fini la passion pour les arts martiaux que nous montrait Michael Jai White dans No Surrender.


Dans Revolt, s'il y a bien quelques bouts de combat ici ou là, on y parle plutôt de traite d'être humains. Des jeunes femmes surtout obligées de combattre dans un hôtel de luxe dans la banlieue de Rome mais qui fait plutôt penser à un hôpital désaffecté de Bucarest. Ce ne sont donc pas les combats au cœur de Never Back Down Revolt. La jeune femme capturée est faible. Elle va au tapis au bout de quinze secondes à chaque fois.


Même si le carnage final est sympa


(on voit tous ces mâles blancs de plus de cinquante ans amateurs de combats clandestins recevoir en punition la colère de leurs prisonnières)


si on cherche un vrai film de baston, il faut se tourner vers les Boyka avec Scott Adkins.

Incertitudes
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le 21 nov. 2021

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Tatsuoshi
4

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Oui pour le coté féministe car on aime voir des meufs casser la gueule des proxos, non pour le coté film d'action qui rend les combats fades.En fait cet opus sort du registre "film de combat" tout...

le 22 déc. 2023

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seinclere
6

pas mal.............!

bon c’est pas non plus le film de l'année ,mais le scénario tient bien la route, pas de combat durant une éternité, de plus un joli final ,pas mal.............!!

le 23 nov. 2021

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