Troisième aventure de Nick Charles, et toujours pas de lassitude qui pointe. Un léger ralentissement au début, mais bon, de toutes façons, tout cela ne tient que sur le couple principal, alors, pas de raison que ça baisse trop en qualité, ils sont toujours parfaits...
J'ai failli oublié Asta qui nous offre ici un saut périlleux arrière, la classe canine incarnée ! (Scritch aurait essayé de l'imiter dans la foulée, on l'a échappé belle....)
Un manoir à la campagne, un meurtre qui se prépare, un homme disparaît, forcément, et notre détective retraité se fait un peu forcer la main pour s'intéresser à l'affaire. En plus, le pauvre a bien des soucis : un marmot complique tout, Madame apprend quelques détails sur son passé et surtout, certains veulent le faire moins boire !!
A noter une scène gratuite comme je les aime dans un cabaret cubain avec une danse complètement hallucinante comme je n'en avais jamais vu.
Sinon, tout est normal, Charles a toujours ses vieux potes de la pègre (à un moment on aurait dit le rendez-vous annuel des sosies de Dominique Pinon), on retrouve la même brute comme policier de base, il y a un jeune puceau qui pourrait être le père de Kurt Russell et je me demande où j'ai vu cette Polley patronne d'une pension de famille avant...
Seul défaut majeur, on picole encore un peu moins que dans le précédent, j'ai peur que le dernier ne finisse par se passer dans un couvent, mais bon, moi, j'ai toujours mon lambig pour résister...