Comment peut-on imaginer deux secondes imaginer consacrer un film sur un.e artiste dans avoir au préalable obtenu le droit de représenter les œuvres de l'artiste en question à l'écran ? C'est ce qui arrive pourtant ici à la pauvre Céline Salette qui foire complètement son film, même si elle se donne du mal, à force de ne jamais pouvoir montrer. Ce qui est particulièrement ridicule car il y a des dizaines de scènes dans l'atelier de Niki, et toutes les toiles, il y en a des dizaines, sont retournées face contre mur. C'en est ridicule. Sans parler du fait que le film est dialogué, interprété et décoré comme un film de 2024 et que jamais le spectateur ne peut croire que ce qu'il voit se déroule dans les années 50.