Un OVNI. Commence comme un film de science-fiction, jamais sentencieux, jamais religieux malgré le sujet, et pourtant ne tape jamais dans le mille.
Long mais sans temps morts, le film ne réussit pas tout à fait son pari, ne cesse d’effleurer son sujet sans peut-être parvenir à le toucher.
L’esthétique particulière lui donne une identité forte, mais pourtant indéfinissable. Un mélange d’amour et de haine constamment sur la brèche, toujours en hésitation de pencher d’un côté ou de l’autre.
Aronofsky avait sans doute quelque chose à dire, mais a t-il trouvé les bons mots ? Il reste permis d’en douter après visionne de cette œuvre particulière.