Cygne contradictoire
J'ai beau très peu m'intéresser à la danse, le parcours et la personnalité Rudolf Noureev m'ont toujours beaucoup séduits, notamment à travers sa dimension historique. Aussi, cette idée de biopic...
Par
le 25 août 2019
7 j'aime
Les flashbacks bousculent les temporalités de la révolution artistique et politique d’un virtuose. La liberté à la pointe des chaussons.
Un destin assez extraordinaire que celui de Noureev et c’était juste qu’un film lui soit consacré. Si Fiennes a voulu éviter la chronologie du classique biopic, le recours au mélange des temporalités, aux flashbacks, aux ellipses qui arrivent sans crier gare déconcerte un peu (même si les scènes d’enfance sont en noir et blanc on en retient que quelques scènes abstraites) Je regrette qu’il n’y ait pas eu beaucoup de scènes de ballet car dans la danse, il a révolutionné cet art et on ne le voit pas assez. leg Ivenko, néanmoins est formidable de vérité, habité par le personnage. A ce propos, c’est un danseur ukrainien de Kazan.Cette soif de liberté de Noureev , c'est comme un symbole.
Créée
le 11 sept. 2024
Modifiée
le 11 sept. 2024
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