"Nous irons tous au Paradis" fait partie des rares comédies dont la suite parvient à être aussi drôle que le précédent film.
S'ils utilisent les mêmes ressorts comiques, on ne tourne pour autant pas en rond grâce à une inversion des rôles. Cette fois le personnage principal ne tente pas de tromper, il soupçonne de l'être.
Un pitch succulent qui permet de transformer Etienne Dorsay en inspecteur Gadget ou en Panthère Rose, au choix, tentant de se camoufler derrière son trench pour mener une enquête avec les pieds.
Évidemment, les personnages ont un capital sympathie hérité du premier film et a priori intact. Les nouveaux venus sont d'ailleurs de bons ajouts, notamment le personnage incarné par Josiane Balasko.
C'est drôle, c'est bien exécuté et on passe un bon moment. Le contrat est rempli.