Fanfare du crépuscule
Sept ans après le 1er volet, Roy Andersson publie le deuxième opus de ce qui deviendra, sept ans plus tard, une trilogie. Le dispositif reste identique : plans fixes, plans-séquence, pour une farce...
le 26 nov. 2020
14 j'aime
Critiques
Sept ans après le 1er volet, Roy Andersson publie le deuxième opus de ce qui deviendra, sept ans plus tard, une trilogie. Le dispositif reste identique : plans fixes, plans-séquence, pour une farce...
le 26 nov. 2020
14 j'aime
Dans une année cinématographique, il y a des films qui vous émeuvent d’autres qui vous rebutent et il y en a aussi qui sortent du lot par leur côté étrange et quelque peu surprenant. « Nous le...
le 23 sept. 2014
6 j'aime
Cinéaste burlesque en plein, l'humour de Andersson dans ses films se fait nettement plus ressentir que dans ceux de Kaurismaki où l'on peut voir une certaine similitude dans les personnages, mais...
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le 6 mai 2011
5 j'aime
2
Un film qui au début, nous séduit de par son originalité, mais qui tourne rapidement en rond et devient finalement assez chiant. La mise en scène austère composée uniquement de plan séquence fixe au...
le 26 nov. 2013
4 j'aime
Roy Andersson appartient à cette ascendance cinématographique atypique scandinave qui excelle dans l'art de dépeindre la condition humaine dans toute sa noirceur, sans pour autant laisser le...
le 11 févr. 2011
3 j'aime
Ayant vu Pour l'éternité, l'effet de surprise n'est plus vraiment au rendez-vous avec Nous, les vivants puisque Roy Andersson n'a pas trop évolué depuis.L'humour noir et les scènes musicales sont pas...
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le 12 avr. 2024
2 j'aime
C'est sombre, c'est bizarre, c'est absurde. Mais qu'est ce que c'est bon !!
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le 10 oct. 2011
1 j'aime
Je propose à Veda d'aller louer des films et, alléché par quelques prix gagnés, je tombe sur Du levande, une espèce d'oeuvre suédoise qui ressemble à s'y méprendre à de la masturbation intellectuelle...
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le 5 août 2010
1 j'aime
Alors oui, il y a un joli travail sur l'image, l'éclairage, la composition visuelle, le choix radical et pas inintéressant de n'avoir que des plans fixes à l'exception de deux travellings...
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le 21 juin 2024
Œuvre qui porte mal son titre tant tout y est froid et austère. Pour faire simple, cela manque cruellement d’humanité. Les personnages, beaucoup trop nombreux, ne sont que des marionnettes aux...
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le 14 juin 2024