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L’ensemble est beaucoup trop inégal pour ne pas sombrer dans l'ennui et on ne peut même pas se raccrocher au visuel qui est plutôt décevant (à l’exception de la séquence de «l’appartement/train»).
Même si il présentait déjà certains de ces défauts, « Chansons du deuxième étage » du même Roy Andersson avait tout de même quelques séquences plus marquantes d’un point de vue pictural et l’ambiance de quasi fin du monde était intrigante ; ici on baigne dans le brouillard et la grisaille.
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le 14 juin 2024
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