La Galice jusqu'à l'hallali
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Veuf, Kjetil ne s'entend pas avec son fils adoptif de 6 ans. Il entreprend de rechercher sa mère biologique en Colombie. L'originalité du troisième film d'Arild Andresen réside dans le portrait d'un père qui n'aime pas son fils ou qui, du moins, ne se sent pas capable de vivre avec lui, après la mort brutale de sa femme. La plus grande partie du film se déroule à Bogota, dans une ville opposée par sa chaleur et ses couleurs à la grisaille de Stavanger. La personnalité de Kjetil est complexe et ce que l'on attend, à savoir le rapprochement entre le père et le fils n'intervient pas comme on pourrait supposer. Simplement mis en scène, le film distille une émotion à contre-courant et inattendue, défiant les schémas tout faits. C'est sa plus grande qualité (avec l'interprétation du grand acteur norvégien Kristoffer Joner) qui fait oublier quelques scènes moins réussies et un début quelque peu laborieux.
Créée
le 20 oct. 2017
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