Basé sur le roman, coproduit, écrit, acteur et réalisé par Turner en numérique sphérique format analogique avec un budget minuscule, dédié vidéo. Nuit de pleine lune commence par la découverte d'un cadavre qui lance une enquête pour aboutir à une conclusion paranormale. Les personnages se regroupent dans un bar avec un style de série B, qui s'engage à travers le mystère d'un personnage.
Le rythme lent poursuit le ballet d'images en opérant un lien sur le précédent, pour s'enfoncer dans une ambiance musicale sans donner de détails à l'histoire qui débute l'action. Les liens des événements gravitent sur l'étrange disparition qui débouche sur le mythe de la prochaine pleine lune dans un long récit invraisemblable. Le rythme lent et répétitif augmente la violence bien qu'il ne se passe rien, dans cette formule de téléfilm.
Les facilités de l'intrigue qui s'éternise finissent par libérer quelques indices pour rassembler les éléments en bouclant sur le début. L'investigation retrouve le mystérieux personnage dans une autre chanson de country, en refermant les issues de l'aventure. L'affrontement accélère les événements qui plongent dans l'horreur, lors d'un dénouement grotesque, pour cette œuvre bas de gamme qui offre une aventure vide, interminable et insipide dans la vie du saloon et avec peu de liens à la série.
> https://youtu.be/ABzyTVSrkCE?si=TekxHmHHBmSNkmFF