"Most people don't scream until I hit them"
Et bam, une grosse baffe dans la gueule de la société bien-pensante. Une claque intense, d'une violence sans limite, sadomasochiste, une volonté d'ébranler les esprits, de servir quelque chose de dérangeant, pas juste pour choquer, mais, pour faire réfléchir.
Comme dans le premier volet, une distribution impressionnante (la palme dans le deuxième volume va à Jamie Bell, glacial et pathologique), une mise en scène intéressante et toujours cette fougue, cette énergie (sexuelle) débordante pour démolir les bons sentiments.
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