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10 jours qui ébranlèrent le monde
Pour fêter le 10ème anniversaire de la révolution de 1917, l'État commande une oeuvre à Sergueï Eisenstein, ayant pour but de glorifier la chute du tsar et la mise en place d'un État...
le 15 mars 2015
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Octobre par Hélice
Note assez subjective, mais tout de même.
Peut-être ai-je été gênée par les ronflements de mon voisin de devant, ou par ceux de mon voisin de derrière, par les gargouillis du ventre de mon voisin de gauche, et par la sonnerie du téléphone de mon voisin de droite.
Les chocs visuels n'en restent pas moins des chocs visuels. On ne voit pas ailleurs des statues qui dégringolent aussi gracieusement, des levers de ponts aussi magistraux. Du grand spectacle, et du beau, des prises de vues hallucinées, une caméra qui s'attache à l'exhaustivité. Scène magique dans la chambre de la Tsarine : observer, puis oublier, pour mieux détruire, ce qui fait d'elle une femme.
Manquaient à Octobre, selon moi, le souffle épique et le lyrisme d'Ivan le Terrible. N'en déplaise aux fayots du devant, qui ont applaudi frénétiquement après leur sieste de deux heures.
Peut-être ai-je été gênée par les ronflements de mon voisin de devant, ou par ceux de mon voisin de derrière, par les gargouillis du ventre de mon voisin de gauche, et par la sonnerie du téléphone de mon voisin de droite.
Les chocs visuels n'en restent pas moins des chocs visuels. On ne voit pas ailleurs des statues qui dégringolent aussi gracieusement, des levers de ponts aussi magistraux. Du grand spectacle, et du beau, des prises de vues hallucinées, une caméra qui s'attache à l'exhaustivité. Scène magique dans la chambre de la Tsarine : observer, puis oublier, pour mieux détruire, ce qui fait d'elle une femme.
Manquaient à Octobre, selon moi, le souffle épique et le lyrisme d'Ivan le Terrible. N'en déplaise aux fayots du devant, qui ont applaudi frénétiquement après leur sieste de deux heures.
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le 27 déc. 2010
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