Sans mentir : sans intérêt

Très mauvais film que ce On ment toujours à ceux qu'on aime...
Premier long-métrage de Sandrine Dumas, On ment toujours à ceux qu'on aime est un film poussif qui présente peu d'intérêt.
L'histoire commençait plutôt bien, avec le personnage de Jewell Stone, rockeuse ratée et un peu mythomane qui malheureusement se lance dans des mensonges qui ne tiennent pas la route. Route qui va être empruntée pendant presque toute la suite du film, qui sans raison, et certainement pas pour gagner en qualité, se transforme sans crier gare en un road movie des plus inintéressants.

Ni la mise en scène, ni la photographie, ni le scénario, ni le jeu des acteurs, ni les décors, ni les dialogues, ni la musique n'apporteront quelque chose à votre vie - pas même un brin de divertissement - si ce n'est de l'ennui et de la peine à finir le film.

L'art est passé à la trappe dans ce film qui n'est même pas une prouesse technique, mais simplement un film opérationnel, qui se déroule sans queue ni tête et avec lenteur.

Au final, on se demande quel est le sens de ce film ?

En un mot : dispensable.