Pour éviter une guerre entre l*'Union soviétique et les Etats-Unis* James Bond est chargé d'enquêter au Japon soupçonné d'abriter une base secrète à l'insu de son gouvernement.
Encore une fois James Bond croise la route de son ennemi mortel le Spectre dont il découvre le visage sous les traits Ernst Stavro Blofeld joué par Donald Pleasence. Soutenu par les services secrets japonais Bond détruit le repère nippon du Spectre qui parvient néanmoins à s'échapper.


Si le film ne se passe pas dans les eaux tropicales, si Bond n'utilise guère de gadgets et si ce n'est pas la première fois que le méchant de service se trouve dans une base secrète elle est pour la première fois gigantesque et moderne, équipée des habituels chausses trappes et de son habituel bain de carnassiers, cette fois des piranhas. Avec "On ne vit que deux fois" on entre dans l'ère du film d'espionnage "kitsch" et dont se moquera plus tard Mike Myers avec "Austin Power".
Sean Connery est une nouvelle fois efficace et s'il fera encore deux épisodes celui-ci sera le dernier de sa série de Bond. Une série qui commence à devenir redondante et dont le comédien se lasse sans doute. Il reviendra en 1971 après "Au service de Sa Majesté" interprété par George Lazenby pour se glisser une dernière fois dans le "smoking" de Bond au milieu de la période Moore.


Au final c'est un bon James Bond même si on commence avec cet épisode à entrer dans le répétitif.

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le 5 juin 2018

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Joachès

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