Bondo-san
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le 2 déc. 2014
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Un engin spatial a disparu. Est et Ouest s’accusent, mais non, c’est le SPECTRE qui a tout fomenté, et Bond doit le prouver.
Le scénario pêche un peu (et préfigure ce qui deviendra l’ère Roger Moore : des gadgets, des private jokes, des sourires en coin), et Sean arrive en bout de course. Le montage est toutefois intéressant et permet à l’ensemble de garder un certain rythme en rattrapant une mise en scène somme toute sans fioriture. Les James Bond Girls sont parmi les plus banales (bien qu’Asiatiques).
Les décors de la base secrète du SPECTRE sont d’une grande beauté (parmi les meilleurs de Ken Adams, qui signera également la Warroom de DOCTEUR FOLAMOUR et les décors de BARRY LYNDON pour Kubrick).
Et puis reste l’atout majeur : un exceptionnel Donald Pleasence en Blofeld, chef du SPECTRE. On ne découvre son visage que tardivement, mais sa présence fait froid dans le dos.
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Créée
le 2 juil. 2020
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