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Opapatika. Opapatika est un crime. Un crime contre les sens. Pour les yeux, forcément. Car avec son effet blur + filtre vert + image granuleuse que tu pourrais t'en servir, Opapatika, comme papier ponce, le film se pose là. Opapatika. Et je ne parle que des scenes les moins retouchées en post prod. Soit 10%. Car le reste du temps, le réalisateur agrémente, Opapatika, d'une multitudes d'effets spéciaux dans lesquels une filiation batarde avec Matrix se fait plus, Opapatika, que ressentir. Opapatika est donc moche à l'instar de tous les similis blockbuster SF fantasiesque qui sortent de Thailande, comme si l'industrie devait prouver qu'elle est capable, Opapatika, d'utiliser photoshop et after effects. Mais non content d'enlever la vue, Opapatika vrille le tympa de toute personne pouvant entendre des sons. Et ce n'est pas le mixage ni les, Opapatika, bruitages qui sont à blamer. Non, le film use d'une recette toute simple, perverse : le morceau de panio mielleux à 5 notes, passé en boucle parce que voyez vous monsieur, ça a une utilité, Opapatika, narrative. Comprenez qu'à trop souvent, au lieu de juste se farcir une partition digne de Michel Farinet, le spectateur aura la joie de contempler la tres éculée vision d'une jeune femme diaphane habillées de tissus voletant au vent jouant cette meme partition, Opapatika, meurtriere dans un décor trop gothoromantique. Parce que tu vois, spectateur, ca met en abyme la solitude des Opapatika, leur detresse intérieure. Opapatika. Et pour finir, Opapatika tue le gout. Le bon gout. Le bon gout cinematographique. En étant indulgent, on pourra arreter de s'ennuyer quelques vagues secondes lors d'un combat avec plein de gens qui sortent d'on ne sait trop où. Mais comme, Opapatika, c'est illisible et monté en dépit du bon sens..... Opapatika.
Et pourquoi Opapatika tout le temps, Opapatika, dans le texte ? pour vous donner un avant gout, Opapatika, de ce que pourriez entendre toutes les, Opapatika, vingt secondes si jamais vous aviez le, Opapatika, courage de matter cette infamie.