De passer sous l'arc en ciel suffit à changer de genre, la suite sera pas aussi poétique que ce que la vieille légende afghane racontait.
Une porte se ferme, d'autres s'ouvriront, c'est ce que dit la mère (veuve de guerre),à sa jeune fille qu'elle a déguisée en garçon, pour tenter de survivre dans cet univers de chape de plomb anti-femme... Où le dijhad diffuse sa terreur...
Le joug taliban a tissé sa toile asservissante depuis trente ans, comme ce premier long métrage de Barmak le démontre (alors en 2004, ex-soldat lui même). Azoury comparaît ce presque documentaire à "los olvidados" de Kaboul, à ce jour, ce n'est plus approprié, c'est pire, au delà de l'entendement...