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The big Oh !
Nom d’un boulon, je sais pas par quoi commencer. Guillermo tu t’es vraiment fait plaisir. Hey Zack, j’ai vu une vraie figure messianique. Après tout, Jésus était noir, non ? Putain j’ai eu ce que...
le 21 juil. 2013
190 j'aime
65
J'ai 8 ans dans ma tête pendant 2h, et c'est jouissif !
Quel pied !!
Scénario : zéro originalité, pas de surprise, y'a des vilains qui attaquent et des gentils qui se défendent.
Narration : parfaite pour un scénario comme présenté précédemment, efficace, bien montée, psychologie des persos simpliste mais présentée très clairement. Et surtout mention spéciale : pas d'histoire d'amour cucu. Le bonheur, quoi. Sans oublier les clichés très comics qu'on adore : les Russes sont des gros bourrins lents mais puissants, les Chinois sont spécialistes en arts martiaux et en techniques supers rapides mais sont méga fragiles, les Australiens sont des quaterbacks moyens partout donc bien plus efficaces, et les américains sont "spéciaux", avec une particularité technique qui en fera les sauveurs de l'Humanité...
Esthétique : tout simplement incroyable... C'est beau, c'est bien fait, les effets spéciaux cartonnent comme rarement, pas un seul défaut de ce point de vue, Transformers 1 pourrait même aller se rhabiller. Et cela rend l'action incroyablement puissante et efficace : les coups se ressentent presque physiquement, les mouvements des Jaegers sont tellements précis et travaillés qu'ils semblent naturels, tels les mouvements d'un exo-squelette qui épouserait parfaitement les mouvements du pilote, sauf que là, l'exo-squelette fait la taille du Chrysler Building... Et les monstres sont tops, avec une esthétique très travaillée et très bien pensée.
Références : alors là, c'est le festival du "J'ai 8 ans, ouaaaaaaiiiiis !!!" : Goldorak, Jurassik Park, Godzilla, Transformers, Power Rangers, comics américains, vieux films de monstres, et surtout Evangelion... Que du bonheur simple absolument débile et un retour aux origines qui réveille le petit garçon qui s'était endormi en nous...
Bilan : beau, sans originalité, plein de références aux grandes "oeuvres" qui ont rempli notre enfance, et surtout inutile et sans message, donc jouissif... Du plaisir pur et facile d'accès si on est capable de poser son cerveau et de vibrer de nouveau pour tout ce qui nous faisait vibrer quand on était petit... Le pied, quoi !
Scénario : zéro originalité, pas de surprise, y'a des vilains qui attaquent et des gentils qui se défendent.
Narration : parfaite pour un scénario comme présenté précédemment, efficace, bien montée, psychologie des persos simpliste mais présentée très clairement. Et surtout mention spéciale : pas d'histoire d'amour cucu. Le bonheur, quoi. Sans oublier les clichés très comics qu'on adore : les Russes sont des gros bourrins lents mais puissants, les Chinois sont spécialistes en arts martiaux et en techniques supers rapides mais sont méga fragiles, les Australiens sont des quaterbacks moyens partout donc bien plus efficaces, et les américains sont "spéciaux", avec une particularité technique qui en fera les sauveurs de l'Humanité...
Esthétique : tout simplement incroyable... C'est beau, c'est bien fait, les effets spéciaux cartonnent comme rarement, pas un seul défaut de ce point de vue, Transformers 1 pourrait même aller se rhabiller. Et cela rend l'action incroyablement puissante et efficace : les coups se ressentent presque physiquement, les mouvements des Jaegers sont tellements précis et travaillés qu'ils semblent naturels, tels les mouvements d'un exo-squelette qui épouserait parfaitement les mouvements du pilote, sauf que là, l'exo-squelette fait la taille du Chrysler Building... Et les monstres sont tops, avec une esthétique très travaillée et très bien pensée.
Références : alors là, c'est le festival du "J'ai 8 ans, ouaaaaaaiiiiis !!!" : Goldorak, Jurassik Park, Godzilla, Transformers, Power Rangers, comics américains, vieux films de monstres, et surtout Evangelion... Que du bonheur simple absolument débile et un retour aux origines qui réveille le petit garçon qui s'était endormi en nous...
Bilan : beau, sans originalité, plein de références aux grandes "oeuvres" qui ont rempli notre enfance, et surtout inutile et sans message, donc jouissif... Du plaisir pur et facile d'accès si on est capable de poser son cerveau et de vibrer de nouveau pour tout ce qui nous faisait vibrer quand on était petit... Le pied, quoi !
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Créée
le 17 janv. 2015
Critique lue 209 fois
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