Pain, amour et fantaisie est un bon petit film italien comme on en faisait tant entre les années 50 et 70 j'ai l'impression. Ce n'est pas mon domaine de prédilection lorsqu'on parle de cinéma, mais difficile de ne pas se prendre au jeu de ce cinéma extrêmement vivant, où ça parle vite et fort avec des dialogues savoureux.
Ici on a évidemment Gina Lollobrigida qui crève l'écran et qui forme l'un des intérêts majeurs du film, mais j'ai trouvé assez intéressant aussi de voir comment Comencini montre l'importance de la religion dans la société italienne.
Je n'ai pas trouvé que c'était un grand film, mais c'est quand même bon et la légèreté apparente au début est vite contrebalancée par le reste.