Le plan commence son mouvement avec deux gondoliers en action, et qui semblent lancer également la caméra, l'embarquer. On les dépasse néanmoins, doucement. La hauteur de cadre est celle des palais, on croise un autre bateau qui doit être similaire à celui sur lequel s'est embarqué Promio. Des gondoliers qui ressemblent plus à des ouvriers qu'à des images de Venise. Une bourgeoise en sens inverse. Des hommes en faction devant un palais, etc...
La capture en un point fixe du mouvement des choses devient le capture (é)mouvante des choses fixes. Au fronton des palais... et l'eau comme surface reliant le mouvant et le fixe.
Créée
le 27 oct. 2015
Critique lue 220 fois
D'autres avis sur Panorama du grand canal pris d'un bateau
Le plan commence son mouvement avec deux gondoliers en action, et qui semblent lancer également la caméra, l'embarquer. On les dépasse néanmoins, doucement. La hauteur de cadre est celle des palais,...
Par
le 27 oct. 2015
Du même critique
Revu récemment le 6 juillet 2011 sur écran d'ordinateur mais surtout le 18 et le 20 mai 2014, en salle. Toute la grandeur du film ne m'est apparue d'ailleurs que sur grand écran... en projection...
Par
le 12 sept. 2015
12 j'aime
Film masculin au possible, proche de la grossièreté souvent et pourtant porté par la grâce du jeu... Cavalier réussit un pari unique, celui d'une collaboration étroite avec ses acteurs qui, si mes...
Par
le 2 oct. 2015
11 j'aime
La vraie comédie est-elle évangélique ? C'est ce que semble prouver (ou vouloir montrer) le Fils de Joseph. En quoi ? En résistant à l'appel du meurtre, du règlement de compte. Comment ? Au lieu de...
Par
le 8 mars 2016
10 j'aime
1
