Pierre est mobilisé pour la guerre. Pendant ce temps, son épouse décède en couche.
La frontière entre le romantisme et la mièvrerie est extrêmement ténue et le métrage s’y engouffre légèrement. L’œuvre se scinde allègrement en deux tant l’intrigue est dissemblable et le moralisme archaïque fait que la seconde partie est moins plaisante. Micheline Presle trouve ses deux premiers grands rôles, car elle incarne la mère et la fille et elle interprète magnifiquement la sublime ritournelle qui partage le titre du film.