Précisons d’abord que ce film est sorti juste après celui d’Oren Pel**i, faisant de lui le premier spin-off de la saga. C’est le personnage d’**Haruka qui sert de lien et pas de bol, elle rentre au pays avec un souvenir maléfique. Le fait que l’histoire se déroule au Japon n’apporte aucune particularité, Paranormal Activity : Tokyo Night reprend les mêmes éléments que son prédécesseur. Ah si, à un moment il y a 2 caméras à l’écran et ça change … ba rien du tout ! Entre deux repas de nos victimes, on tremble de peur devant un tas de sel qui s’éparpille, une couverture tirée ou encore des cadres photos qui se brisent. Un épisode à l’image de ce que donnera la suite de la saga à savoir largement dispensable.