Ça ne raconte rien, ci ne n’est une vague allégorie de la ville de Naples à travers l’objectification ultime d’une femme. Elle est a la fois la jeune fille parfaite et inaccessible et le stéréotype de l’héroïne tragique qui ne vit qu’à travers sa tristesse. D’ailleurs c’est cette douleur qui la rendrait encore plus belle, tout comme son amour pour les moches et les « orignaux ». Le male gaze est tellement grossier qu’on finit par ne plus croire à rien, et surtout pas à l’attirance systématique de cette beauté pour de vieux hommes libidineux, alcooliques ou tout simplement fous.
Je ne parle même pas de la scène dans le bar mafieux ou deux familles se réunissent pour obliger leurs enfants à consommer leur unions devant tout le monde de manière très forcée…
Globalement le film est d’un voyeurisme à gerber et se gargarise de cette intellectualisation (sois disant) de la beauté pour ne nous montrer qu’un énorme fantasme d’homme mature qui voudrait que toutes les jeunes filles soit trop intelligente pour aimer des garçons de leur âge.
PS : bonus inceste bizarre juste pour le kiff… parce qu’après tout ?