Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Très chouette film.
J'aime beaucoup le style de Aldrich : il prend son temps pour raconter une histoire, laisse les personnages s'affronter, vivre ensemble, les échanges ne sont pas purement fonctionnels, il exploite ses personnages. C'est le cas ici ; il y a bien quelques errements, quelques passages qui durent peut-être un peu trop longtemps et quelques facilités narratives, mais globalement ça tient très bien la route. De plus l'auteur ajoute une dose d'humour qui rend le glauque du récit plus supportable.
La mise en scène fonctionne ; Aldrich filme au plus simple, ne propose pas des placements de caméra inventifs et originaux, se contente simplement de raconter son histoire le plus simplement et le plus clairement possible, jouant avec les axes et hauteurs de caméra pour renforcer le message. Les acteurs sont bien choisis tant pour leur gueule que pour leur talent. La musique passe assez bien aussi, amène un côté rigolard.
Bref, encore un bon film de ce cher Bob !
Créée
le 2 févr. 2020
Critique lue 140 fois
2 j'aime
D'autres avis sur Pas d'orchidées pour miss Blandish
Une histoire d’amour improbable à la sauce Aldrich, c’est tout sauf banal et embaumé d’un agréable parfum de rose. C’est même tout l’inverse, le cinéaste n’hésitant pas à corser, plus que de raison,...
Par
le 22 sept. 2014
6 j'aime
1
Il s'agit d'un film noir assez long, plus de 2 heures. Le film se déroule aux Etats Unis dans les années 30. La reconstitution de l'époque est très bonne grâce aux décors et aux voitures, aux...
Par
le 22 févr. 2015
4 j'aime
Aldrich continue à décortiquer la noirceur de l'âme humaine qu'il regarde toujours avec un certain cynisme, à travers un étonnant film de gangsters. Film totalement fou, porté par une liberté de ton...
Par
le 13 févr. 2012
4 j'aime
Du même critique
Quand je me lance dans un film de plus de 2h20 sans compter le générique de fin, je crains de subir le syndrome de Stockholm cinématographique. En effet, lorsqu'un réalisateur retient en otage son...
Par
le 3 janv. 2016
122 j'aime
35
Quand j'étais gosse, je me souviens que je tombais souvent sur l'émission. Enfin au moins une fois par semaine. Sauf que j'étais p'tit et je m'imaginais une série de docu chiants et misérabilistes...
Par
le 22 févr. 2014
122 j'aime
45
La première fois que j'ai vu ce film, j'avais 17ans et je n'avais pas accroché. C'était trop lent et surtout j'étais déçu que le mowhak de Travis n'apparaisse que 10 mn avant la fin. J'avoue...
Par
le 16 janv. 2011
109 j'aime
55
