Twin Peaks
Après Détroit et les sorties nocturnes d’Only Lovers Left Alive, Jim Jarmusch déplace de nouveau son cinéma dans une ville en friche où la lisière se révèle étroite entre les briques en ruine et le...
Par
le 24 déc. 2016
146 j'aime
5
Voilà un film qui réveille la poésie. Un film qui lève un voile qui tend à s’épaissir au fil du temps et nous prive du chame de l’existence.
Jarmusch ne la magnifie pas, mais nous laisse entrevoir sa beauté pudique et soudain tout artifice semble superflu. C’est le retour du temps cyclique, de la richesse de l’ennui, de l’amour véritable.
Ce film n’est pas le culte d’un idéal ascétique ou d’une quête mystique ; il est le simple et sublime tableau d'une vie.
Créée
le 12 avr. 2018
Critique lue 193 fois
D'autres avis sur Paterson
Après Détroit et les sorties nocturnes d’Only Lovers Left Alive, Jim Jarmusch déplace de nouveau son cinéma dans une ville en friche où la lisière se révèle étroite entre les briques en ruine et le...
Par
le 24 déc. 2016
146 j'aime
5
Avis à celleux qui "respirent la poésie" et l'admirent, Jim Jarmusch est revenu pour nous faire rêver. Paterson s'ouvre sur l'étreinte profonde et silencieuse d'un homme et d'une femme dans leur...
Par
le 22 déc. 2016
126 j'aime
32
Lorsqu’un poème est écrit en prose ou en vers libre, il perd instantanément la faculté d’immédiate séduction qu’avait son prédécesseur en vers : la rime, le rythme, musique et cadence de la forme...
le 3 janv. 2017
107 j'aime
11
Du même critique
J'ai rarement vu une telle daube.
Par
le 31 août 2017
2 j'aime
Sinon y a le Scrabble
Par
le 27 mars 2019