Des décors oniriques qui, paradoxalement, servent à merveille la réalité des sujets traités
Une ode à l’apprentissage et à la liberté grâce à ce cerveau d’enfant, campé dans un corps d’adulte (mais dénué, de fait, de son expérience et de sa capacité à se protéger) qui souligne avec franchise toute l’injustice et l’hypocrisie du monde
Bref, un vent de fraîcheur sur ce monde défraîchi (mais encore actuel) et l’impression de n’avoir jamais rien vu de tel
Et, sans grande surprise, mention spéciale pour le jeu d’Emma Stone (et pour les musiques qui participent divinement à la bizarrerie, dont on ne sait plus si elle vient de la maison du créateur de Bella ou de celui de notre monde)