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Linda et George s’aiment, sont mariés et vivent à New-York. Tout va bien. Mais après avoir acheté un appartement trop cher sans savoir qu’ils allaient perdre leur travail, ils sont obligés de se réfugier chez le frère de George, un parvenu arrogant et beauf. Ils découvrent à proximité la communauté de Wanderlust, des gentils hippies tout plein de bons sentiments. Les débuts sont idylliques, mais la vie tous ensemble, c’est pas si facile.


Avec quelques personnages sympathiques mais pas loufoques, Wanderlust reprend le thème de la communauté hippie sans en épuiser toutes les possibilités, loin de là. On peut même dire qu'il assimile la marginalité (ou ce qu'il imagine être) dans une production très calibrée. Différentes situations prêtent à sourire, et c’est le côté joyeusement fou qui l’emporte, face à un scénario un peu mou, qui n’a pas grand-chose à offrir.


En première ligne, un couple bien connu, déjà vu dans Friends ou L’objet de mon affection, Jennifer Aniston et Paul Rudd. Le jeu de Jennifer Aniston étant ce qu’il est, c’est la malice du personnage de George qui en ressort, avant de se retrouver décontenancé par ce que nécessite la vie à Wanderlust.
David Wain est un réalisateur surtout connu pour ses comédies, qui aime s’entourer de personnes récurrentes qu’on retrouve ici, comme Paul Rudd, son acteur fétiche. Wet Hot American Summer, The Ten ou les Grands frères ne sont pas les meilleurs représentants de la comédie américaine mais possèdent chacun quelques qualités
.


C’est une fois encore le cas ici. La réalisation est polie, à l’image du film qui ne fera pas de vagues. Le scénario est léger mais les personnages attachants. Cela manque un peu de relief, mais Wanderlust s’apprécie simplement, sans lui en demander trop.

SimplySmackkk
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le 7 avr. 2020

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