Mr Orange: Gloire d'une époque révolue, Woodstock hante irrémédiablement les mémoires. Et pourtant, il n'a été que très peu utilisé au cinéma. Depuis LE documentaire Woodstock, seul le récent Hotel Woodstock a osé et su s'immerger dans le mythe. Il va donc de soit que l'on saute gaiement sur le nouveau venu: Peace, love & misunderstanding dans lequel on croisera quelques têtes connues.

Les réussites du film: son unité de lieu et son approche humoristique. C'était facile peut-être, on est tous fascinés par Woodstock, mythe indétronable. Et alors?! Toujours est-il que ça fonctionne, très bien même. La thématique hippie apporte son champ de vannes relativement originales et certainement efficaces. Ainsi, la 1ère moitié du film bénéficie de cet élan d'humour... de magie, c'est génial. Point.

L'échec du film: ses romances. Un week-end en famille qui se transforme en une triple histoire d'amour, WTF? Passé la moitié, le film plonge... plonge... dans tous les sens, sans nous emmener nul part si ce n'est du pur triple cliché romantique. Point... ah nan, un soupçon d'espoir... le court métrage expérimental du p'tio pourrait sauver le film... hé nan. Fausse alerte. Diantre.

Que penser de tout ça? Le début est franchement sympa, mais il ne sert à rien de s'attarder sur la fin.
TheMrOrange
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le 8 juin 2012

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