La vie à coups de javel
Perfect Days version Wim Wenders, c’est la chanson au singulier de Lou Reed, sans l’âpreté de la voix de Lou Reed, sans l’ambiguïté de son “You’re going to reap just what you saw”, geste de...
Par
le 16 déc. 2023
39 j'aime
14
Voir le film
Je suis architecte, cela me donne peut-être des prédispositions pour aimer ce film. Comme Hirayama j'ai passé du temps à observer le paysage et à attendre qu'il me dise quelque chose.
J'ai vu des clôtures, des bancs, des revêtements de mur, des meubles, des couverts, des arbres, des tissus étranges, des menuiseries, des couverts, des signes, du carrelage, beaucoup de carrelage, même sur certaines maisons, des panneaux, des appareils dont je n'ai pas compris la fonction, des interrupteurs, des béquilles de porte, des rideaux... J'ai vu des choses qu'on ne regarde pas. J'ai vu l'ombre des choses qu'on ne regarde pas.
C'était intéressant et cela m'a rendu heureux.
Créée
le 20 oct. 2024
Critique lue 3 fois
D'autres avis sur Perfect Days
Perfect Days version Wim Wenders, c’est la chanson au singulier de Lou Reed, sans l’âpreté de la voix de Lou Reed, sans l’ambiguïté de son “You’re going to reap just what you saw”, geste de...
Par
le 16 déc. 2023
39 j'aime
14
Wim Wenders n'a jamais caché sa fascination pour le Japon. Il suffit de voir son immense admiration pour l'immense Yasujiro Ozu, observateur des mutations de la société de son pays par l'angle...
Par
le 1 déc. 2023
34 j'aime
2
Disons les choses.Sans sa moyenne élogieuse sur ce site, je pense que je ne serais pas allé voir Perfect Days. Trop d’éclaireurs unanimes. Il fallait que je voie ça.Et maintenant que je l’ai vu, ce...
le 3 janv. 2024
33 j'aime
25
Du même critique
La grande force de Stalker est de s'inscrire dans notre histoire contemporaine en reprenant l'accident nucléaire de Chernobyl comme élément principal de background. Le lieu, le récit et la souffrance...
Par
le 25 sept. 2010
11 j'aime
1
Le Bâtard récalcitrant est le récit tonitruant d'un jeune débile primitif bien décidé à récupérer son héritage par tous les moyens. Comme à chaque fois chez Sharpe c'est dans la bonne société que...
Par
le 1 oct. 2010
6 j'aime
AKIRA est une pièce maitresse d'architecture, de récit et de graphisme. Ça fait beaucoup pour un seul ouvrage.
Par
le 27 sept. 2010
5 j'aime