Bergman traverse des questions philosophiques sur le sens de la vie, le poids de la solitude, la folie et le silence. Le film est agréablement imprévisible, la photo est magnifique, les actrices excellentes dans un film en casi non mixité. Et ça fait plaisir. La mise en place d'éléments horrifique si elle est bien mise en scène, manque cependant de sens et ne rappelle pas spécialement les éléments du film si ce n'est la question de la peau et du regard. (j'ai pas encore tout compris). La relation entre les deux personnages met superbement en scène le renversement de dominations et l'obsession.
Je pense qu'il y a qlq chose à creuser du côté de l'avortement, et du fait de ne pas vouloir être mère, c'est super pertinent d'en parler au cinéma en 1966, même si on retrouve toujours la dichotomie mère / carrière.
Voilà c'était cool