C'est dubitativement la seule réponse qu'on peut interjecter face à une œuvre pareille.
Je pourrais jouer le rôle du réaconservateur et vous dire que c'est très mauvais car ca incite les gens à rester en enfance, ne jamais assumer ses responsabilités blablabla
(vous citer le livre scène par scène où c'est justement Peter le voleur car aimant de rêvasserie d'enfant et le pirate quarantenaire, le premier enfant qui a réussi à s'échapper, et qui essaye de sauver les enfants des rêves assoupissants des gens qui essayent de profiter de vous.
Car il n'y a rien de bien à rester les yeux fermés toute sa vie).
Voyez-vous.
Ou faire le jeu du wokonservateur qui garde ses moutons, et vous dire que c'est très bien car ce sont des arc-en-ciel par intraveineuse et ca te permet de continuellement te faire sentir bien même si tu te cognes partout à préférer ne rien voir de ta vie.
Mais vous remarquerez aux exemples, et surtout aux mots choisis pour plus de facilités d'assimilations, que ces deux types de personnes essayent de conserver quelque chose.
L'une un statut quo matériel, en soi, l'autre une pensée de la vie, pas la sienne, en soi.
Alors que pourtant Peter Pan.... c'est une idée, un sentiment, il n'y a de la place à aucun moment du film pour du Spinoza ou du Kant.
Même pas assez pour du Stephen King ou JK Rowling.
Un sentiment d'envol pour que tu décolles d'un élan de plus d'une heure.
Tu passes de déposer tes yeux sur les étoiles chaque soir en espérant que l'autre te parvienne, à te poser sur un trône de météorite en préférant que les autres te rattrapent.