Porco, cette homologue paternel

Vu dès l'âge de 5 ans, il a tout dessuite effacé le peu de Disney que j'avais déjà eu l'occasion de voir. Bien que j'ai un lien parmis mon seul film Disney que je suis sur d'avoir complément vu (je n'ai jamais été un enfant de la TV): cette voix sèche et autoritaire appartenant à Jean Réno.
Porco est plus cru, plus cerné...

Ce cochon, massif, râleur, moustachu mais tellement attachant et plein d'amour: tu étais à l'écran papa!
Comment vous faire passer pour de bons parents quand votre gamins cours à la chaîne hi-fi pour montrer le son de la scène des moteur à en faire trembler la maison parce qu'il reconnaît ces moments père-fils?
Avec le temps je n'ai jamais pu m'empêcher de le regarder encore et encore...toujours bercé par les odeurs d'huiles et d'embruns marins. Et puis on recherche les détails en grandissant puisque l'on connaît toutes les tournures et images, le moteur à la culasse "Ghibli" qui a mené un vrai Donald Curtis à gagner 2 années au trophée Schneider face aux italiens ou que malgré tout on se doit de couper la dernier scène où Fio rejoins l'hôtel....là juste en bas de l'écran....regarde le jardin...regarde ce beau rouge flotter.
Oui, ils y a eu de grand bouleversement mais tu peux être rassuré, Porco demeure a jamais.

Merci à Sens Critique pour les acteurs, je n'aurais jamais douté des acteurs derrière ces voix (Curtis et Picolo)