Jérusalem entre le 3 et le 25 avril 1897, selon le catalogue Lumière. Un homme très curieux commence le plan par un bâillement puis un gros plan. Deux enfants dodelinent du buste pour la caméra, qui capte également le va et vient de la porte, la foule cosmopolite. On reconnaît selon toute vraisemblance des turcs, des palestiniens, des juifs et sans doute d'autres encore. Une enseigne au loin indique en français et en anglais un "coiffeur-barber". Quelques stands, ou simples tables de vendeurs, des cireurs, des religieux, des animaux, etc... Et la porte au loin qui laisse passer quiconque entre ses cubes de pierre millénaire peut-être. Une vie multiple.
Créée
le 28 oct. 2015
Critique lue 155 fois
1 j'aime
Du même critique
Revu récemment le 6 juillet 2011 sur écran d'ordinateur mais surtout le 18 et le 20 mai 2014, en salle. Toute la grandeur du film ne m'est apparue d'ailleurs que sur grand écran... en projection...
Par
le 12 sept. 2015
12 j'aime
Film masculin au possible, proche de la grossièreté souvent et pourtant porté par la grâce du jeu... Cavalier réussit un pari unique, celui d'une collaboration étroite avec ses acteurs qui, si mes...
Par
le 2 oct. 2015
11 j'aime
La vraie comédie est-elle évangélique ? C'est ce que semble prouver (ou vouloir montrer) le Fils de Joseph. En quoi ? En résistant à l'appel du meurtre, du règlement de compte. Comment ? Au lieu de...
Par
le 8 mars 2016
10 j'aime
1
