Pottersville
4.4
Pottersville

Film de Seth Henrikson (2017)

Pottersville est une petite bourgade américaine en crise. De nombreuses maisons sont à vendre, les affaires ne sont pas florissantes. Meynard Greiger tente de maintenir à flots l’épicerie familiale qui existe depuis 1928 tant bien que mal. C’est un homme généreux et naïf qui va surprendre sa femme déguisée en lapine avec le shérif déguisé en loup… Et là, c’est le drame ! Il va se prendre une mine mémorable et se déguiser en gorille. Des tribulations nocturnes qui vont créer un buzz médiatique sans précédent pour cette ville à la dérive. Une aubaine ! En effet, de nombreux habitants auraient aperçu… le Bigfoot !


Une comédie de Noël classique dans l’esprit, disponible sur Netflix, avec ses chansons (notamment Christmas Time de The Debonairs en ouverture) et ses personnages touchants, agaçants, et caricaturaux. Je pense notamment au personnage du présentateur TV que j’ai trouvé vraiment too much et absolument pas drôle. Il en ressort une comédie assez lourde au final, qui arrache quelques sourires malgré tout mais... c’est très moyen.

OskarNewon
3
Écrit par

Créée

le 20 déc. 2017

Critique lue 460 fois

Oskar Newon

Écrit par

Critique lue 460 fois

D'autres avis sur Pottersville

Pottersville
Corsicanna
6

Une farce au poil ?

On se retrouve devant un énième film de Noël. Le pitch : L'épicier de la ville rentre un peu plus tôt chez lui et voit sa femme le tromper en déguisement d'animaux. L'épicier un peu bourré, prends un...

le 14 janv. 2018

1 j'aime

Pottersville
Ptid
2

Navet de Noël

C’est fou de pondre un navet pareil avec un tel casting. Rares sont les films où je m’ennuie du début à la fin, mais ce film a réussi l’exploit. Il ne m’aura même pas arraché un sourire, c’est quand...

Par

le 20 nov. 2020

Pottersville
DavidRumeaux
3

Pottersville !

Comment peut-on réunir un tel casting et sortir un tel truc ? La question restera longtemps posée... Pottersville n'est pas la ville d'Harry Potter. En fait, il n'y a même pas de magie. Par contre,...

le 6 juil. 2020

Du même critique

Darkest Minds : Rébellion
OskarNewon
1

Critique de Darkest Minds : Rébellion par Oskar Newon

Dans un futur proche, les enfants disparaissent suite à une pandémie d’origine inconnue. Les survivants développent des facultés qui font peur aux adultes (surtout représentés par des militaires, les...

le 9 août 2018

21 j'aime

2

Bright
OskarNewon
6

La magie opère par moments.

Mon boulanger est donc un Bright car il maîtrise parfaitement la fabrication de la baguette (tradition, évidemment). C’est tout pour moi, merci… Nous sommes dans un Los Angeles alternatif où les...

le 23 déc. 2017

15 j'aime

Extremely Wicked, Shockingly Evil and Vile
OskarNewon
7

Critique de Extremely Wicked, Shockingly Evil and Vile par Oskar Newon

Ayant beaucoup apprécié la série, disponible également sur Netflix, Conversations with a Killer: The Ted Bundy Tapes, j’étais assez curieux de voir ce film, fait par le même réalisateur, comme...

le 8 mai 2019

13 j'aime