Des comédiens déchaînées
Une histoire complètement farfelue interprétée par des comédiens déchaînées (surtout Tabet), les chansons sont amusantes, les situations invraisemblables voire même surréalistes (l'épisode du passage...
Par
le 5 déc. 2018
Il s'agit d'une opérette mettant en vedette deux chanteurs connus à l'époque, Georges Tabet et surtout Jacques Pills, qui fut par la suite le mari d'Edith Piaf. Le ton est plaisant, le rythme allègre, les situations cocasses s'enchaînent, les dialogues, sans être géniales, sont pétillants. Bref, la bonne d'humeur en cette année 1936 semble être au rendez-vous. Les chansons participent de cette ambiance. Quant à la mise en scène de Jean Boyer, elle a ses bons moments comme la première scène qui fait la part belle à un long travelling digne des comédies musicales américaines. Il est parfois fait mention dans certains ouvrages que ce film aurait une scène en couleur, mais l'intégralité du DVD que l'on trouve chez René Château est en noir et blanc.
Créée
le 13 août 2016
Critique lue 280 fois
D'autres avis sur Prends la route
Une histoire complètement farfelue interprétée par des comédiens déchaînées (surtout Tabet), les chansons sont amusantes, les situations invraisemblables voire même surréalistes (l'épisode du passage...
Par
le 5 déc. 2018
Il s'agit d'une opérette mettant en vedette deux chanteurs connus à l'époque, Georges Tabet et surtout Jacques Pills, qui fut par la suite le mari d'Edith Piaf. Le ton est plaisant, le rythme...
le 13 août 2016
Du même critique
Sorti en 1964, ce TUEUR DE BOSTON évoque clairement l'affaire De Salvo, un criminel qui oeuvra dans cette ville dans les années 60 et qui a donné lieu à un autre film, L'ETRANGLEUR DE BOSTON, de...
le 20 août 2014
7 j'aime
Un film magnifique du sous-estimé Anatole Litvak. Avec une mise en scène très intelligente, Litvak parvint à évoquer sans démagogie le problème de la folie dans l'Amérique des années 40 et le fait...
le 3 août 2014
6 j'aime
Réalisé en 1969, pendant et après les révoltes estudiantines, Zabriskie Point se veut le portrait de l'Amérique et de ses mythes. Loin de son Italie natale, les défauts, déjà patents auparavant, du...
le 2 août 2014
6 j'aime