7
Employés et maris
Un couple se délite. Le mari, lassé d'une femme trop froide, va se laisser attirer par une autre. C'est le thème principal de ce long film (presque 2h30). Mais, à mes yeux, ce n'est pas le plus...
Par
le 21 févr. 2012
16 j'aime
4
Le site est de retour en ligne. Cependant, nous effectuons encore des tests et il est possible que le site soit instable durant les prochaines heures. 🙏
Printemps précoce par hubertguillaud
"Nous nous sommes vivants, mais pas heureux". Printemps précoce est un film assez sombre, qui décortique la vie de bureau de petits employés de banlieue, les aléas d'une jeunesse standardisée où chacun cherche sa voie et le chemin de son existence, où l'amour lui-même est à construire. Ozu livre là un condensé d'existence, de drames du quotidien que la vie nous pousse à relever, quoi qu'il vaille.
9
Écrit par
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste Les meilleurs films de Yasujirō Ozu
Créée
le 21 avr. 2024
Critique lue 15 fois
D'autres avis sur Printemps précoce
8
Le monde du travail et l'adultère selon Ozu !!!
Ozu a délaissé un peu ses thématiques habituelles (fossé générationnel, l'obsession de marier,etc...!!!) pour en aborder d'autres déjà évoquées dans d'autres œuvres du cinéaste mais de manière plus...
Par
le 26 mars 2014
10 j'aime
4
7
« La vie est mélancolique »
Printemps précoce est marqué par une certaine tristesse et mélancolie, sans la touche habituelle de légèreté et d’humour qui parsème ses films même quand le sujet est grave. Ici, Ozu s’intéresse au...
Par
le 7 févr. 2024
8 j'aime
3
Du même critique
10
Emballant !
D'une simplicité incroyable, d'un trait épuré, Emilie Tronche nous embarque dans la prime adolescence avec une série absolument excellente, faite de petits instants, de regards, de réflexions sur...
le 12 mars 2024
59 j'aime
2
La technologie, une religion qui s'auto-réalise
Sapiens, le précédent livre de Yuval Harari, cette grande fresque de l’humanité a permis à des millions de lecteurs de se sentir intelligents, de comprendre notre aventure humaine sur plus de 300 000...
le 29 août 2017
33 j'aime
14
2
Du cinéma naphtaline !
Scorsese reste un grand conteur. Malgré les longueurs, les digressions, la fadeur de l'ensemble, il nous embarque à grand coup de nostalgie dans cet univers de mafia disparue, qu'il a tant raconté...
le 1 déc. 2019
24 j'aime
2
