Le portail et l'intime
J’entends déjà d’ici les procès intentés au dernier film de Sofia Coppola, comme pour les précédents Les proies ou On the rocks : trop superficiel avec ce souci obsessionnel de l’apparence et...
Par
le 20 déc. 2023
45 j'aime
1
Le site est en ligne, vous pouvez désormais revenir à vos activités habituelles. On vous remercie pour votre patience et votre soutien ! (Il est encore possible que le site rencontre quelques problèmes de performance)
Voir le film
Avec Marie-Antoinette la réalisatrice avait fait d'une princesse une rockstar, avec Priscilla elle fait d'une potentielle rockstar une princesse. Je dis potentielle parce que Priscilla avait tout pour incarner un personnage fort, aussi fort que son mari, mais dans cette histoire, on en fait un être transparent et insipide , une véritable caricature de jeune fille en fleurs, qui aurait mérité un traitement plus punchy à l'image de la bande originale pop & rock qui sauve les meubles parce que sinon l'ennui nous gagne. Comme le chantait Elvis:
"Baby let me be your loving teddy bear, put a chain around my neck and lead me anywhere". Voici ce que devient la pauvre Priscilla.
Cet utilisateur l'a également ajouté à sa liste mes films de 2024
Créée
le 13 janv. 2024
Critique lue 13 fois
D'autres avis sur Priscilla
J’entends déjà d’ici les procès intentés au dernier film de Sofia Coppola, comme pour les précédents Les proies ou On the rocks : trop superficiel avec ce souci obsessionnel de l’apparence et...
Par
le 20 déc. 2023
45 j'aime
1
Il y a suffisamment de détracteurs – parfois assez violents – du cinéma de Sofia Coppola pour que nous précisions d’emblée que nous n’en faisons absolument partie, et que nous avons toujours, même...
Par
le 5 janv. 2024
39 j'aime
5
On l’a vu récemment avec Napoléon ou Maestro : le rôle des épouses intéresse de plus en plus le cinéma américain. Influentes, indispensables et laissées à l’écart des projecteurs de l’Histoire, elles...
le 8 janv. 2024
37 j'aime
2
Du même critique
Prise dans un labyrinthe psychologique, l’héroïne, sorte d'Alice dans un pays des horreurs, nous fait plonger dans le monde froid et dérangeant des tueurs en série et des dérives du dark web. Sans...
Par
le 13 févr. 2024
4 j'aime
Gus Van Sant réalise un film sur l'effacement de l'être et la proximité de la mort.Dans Restless, c'est le romantisme lyrique qui se conjugue avec une lucidité morbide où se côtoient des héros...
Par
le 10 juin 2024
3 j'aime
Ce film est avant tout une succession de différents genres cinématographiques et l'on passe indifféremment du grandiloquent colonial au huis clos paranoïaque en passant par la romance, l'aventure ou...
Par
le 23 sept. 2024
2 j'aime