A private war suit la journaliste Marie Colvin durant ses derniers reportages.
Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, ce n'est pas un film chiant, long, qui se veut intello. Au contraire le film a du rythme, les scènes de guerres sont brillamment filmées, on ne parle pas pour ne rien dire.
L’intérêt de suivre la journaliste sur plusieurs années nous permets de comprendre sa psychologie, ses troubles post-traumatiques, cmpllles guerres ne peuvent pas laisser un être humain indifférent.
A private war a le mérite de montrer la guerre sous l'angle des civils, un angle que l'on voit rarement, c'est toujours plus spectaculaire de montrer des militaires body buildés qui sauvent le monde.
Pour une fois, la lumière est braquée sur la vérité de la guerre, les massacres, les morts, la destruction et on voit enfin le travail remarquable que font les journalistes de guerre, leur quotidien.
Bravo à tous nos correspondants de guerre qui se battent pour nous faire voir ce que nous ne voulons pas voir.
Ce film est un devoir de mémoire.