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Dédale & hilares
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le 13 mars 2016
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Pulpeux & même juteux
Comment ne pas tomber amoureux de ce film ?
Non, c'est mal dit, je recommence:
Comment ne pas être obsédé par ce film ?
Mieux, mais encore loin de la réalité de ce qu'on ressens quand on sort des 2h de chef d'œuvre.
Pulp Fiction pourrait être une succession incongrue de situations saugrenues, baignant dans un scénario grossier qui s'ancrerait dans une espèce de délire psychédélique pour sniffeurs invétérés... Mais oui mais non ! Pulp Fiction, c'est une nonchalance, une sorte de jemenfoutisme total. Tu es là devant ta télé, tais-toi & écoute la réplique assassine de Vega. Comment ça 'ça veut rien dire' ? Comment ça 'c'est improbable' ? Pulp Fiction, ça se subit plus que ca se vit: pas de réflexion à outrance, ça passe tout seul avec une efficacité déconcertante.
Si tu ne te rappelles pas de tout ce qui s'est passé quand tu arrives à la fin du film, regarde-le à nouveau.
Non, c'est mal dit, je recommence:
Comment ne pas être obsédé par ce film ?
Mieux, mais encore loin de la réalité de ce qu'on ressens quand on sort des 2h de chef d'œuvre.
Pulp Fiction pourrait être une succession incongrue de situations saugrenues, baignant dans un scénario grossier qui s'ancrerait dans une espèce de délire psychédélique pour sniffeurs invétérés... Mais oui mais non ! Pulp Fiction, c'est une nonchalance, une sorte de jemenfoutisme total. Tu es là devant ta télé, tais-toi & écoute la réplique assassine de Vega. Comment ça 'ça veut rien dire' ? Comment ça 'c'est improbable' ? Pulp Fiction, ça se subit plus que ca se vit: pas de réflexion à outrance, ça passe tout seul avec une efficacité déconcertante.
Si tu ne te rappelles pas de tout ce qui s'est passé quand tu arrives à la fin du film, regarde-le à nouveau.
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