Il est l’un des films avec le duo que j’ai découvert sur le tard et l'ai vu bien plus à l'âge adulte que pendant mon enfance.
L’histoire de deux bourlingueurs qui se retrouvent, malgré eux, pris pour des agents secrets. Et ils vont devoir effectuer une mission d’agents secrets. On retrouve l’équipe parfaite pour le duo : Barboni derrière la caméra, côté VF, Claude Bertrand et Dominique Paturel sont au rendez-vous et les frères De Angelis sont la bande-originale. Les dialogues sont quasiment parfaits, les situations géniales, seule la fin déçoit un peu mais bon.
Quelques répliques, lorsque Terence invite Bud à le suivre à prendre l’avion et lui dit : « On y vas, la grosse. » et deux minutes plus tard, Terence explique à Bud, les conditions de vol et en lui donnant un petit sac : « Si tu as envie de vomir, tu fais ça la dedans », Bud réponds : « Tu déconne, c’est pour les clébards, ça. ».
C’est extraordinaire. « Quand faut y aller, faut y aller » est connu pour être une parodie de James Bond et les fans auront remarqués que Claude Bertrand qui était la voix officielle de Bud Spencer était aussi celle de Roger Moore qu’il doubla dans tous ses « James Bond » dont un sorti exactement la même année que « Quand faut y aller, faut y aller ».
Bien sur ce film à quelques imperfections, mais bon : c’est 104 minutes de bon temps.